Solange La Bourge : Salope AujourdHui Mais Salope Depuis Son Jeune Âge. LAutocar « Saison 3 » (Partie 11-1/5)
Solange, cette femme soumise à son mari Patrick, candauliste jusquau bout des ongles, vous raconte aujourdhui une aventure qui cétait déroulée alors quelle navait pas vingt ans.
Mes parents habitaient dans un village à quelques kilomètres dAmiens. En cette année 1993, je venais davoir dix-neuf ans et jétais en première année duniversité sur Paris. Durant la semaine, je logeais chez mon oncle à Herblay, ce qui était très avantageux, nayant que les transports en commun à ma charge. Le week-end je rentrais à la maison, javais une heure et demie de train, puis le métro, lattente de correspondance et le trajet en car denviron vingt bonnes minutes. Trois heures de trajet en moyenne.
Ce vendredi onze juin, je montais dans le car et jallais massoir sur la banquette du fond près de la vitre, ma place favorite. A cette époque javais un petit copain au doux prénom dArmand, ça ne sinvente pas. Je me demande ce qui mavait attiré chez lui, car il était légèrement plus petit que moi, il avait dix-sept ans et était encore marqué dacné juvénile. Nous sortions ensemble depuis deux mois.
Ses parents étaient éleveurs, ainsi il me fit découvrir les déviances de certaines femmes dont sa mère. En effet, Dans notre village il y avait peu dhabitant, encore moins de garçons de mon âge. Le week-end je mennuyais et javais une grande envie de sexe. Un après-midi, je connaissais Armand de vue, on sétait déjà croisés mais ce jour-là on avait discuté de flirt, de petit copain et de sexe. Puis il mavait parlé des amants de sa mère, mais également de ses murs bizarres : la zoophilie, quil avait découvert en cachette. Le sujet mintéressait, cétait de la curiosité, du voyeurisme.
Il mavait entrainé dans un box vide dune stalle, dans le box dà côté il y avait un étalon qui bandait à moitié. Il mavait demandé si ça mexcitait. Jai regardé le cheval, non pas excitée mais curieuse de voir ce sexe aussi gros de si près.
La seule chose que jaimais faire avec lui, sétait de mamuser à le sucer en décalottant son prépuce dans ma bouche. Donc on baisait deux à trois dans le week-end, parfois dans sa chambre, ou à lextérieur. Cétait des baises hygiéniques, baiser pour baiser. Jétais donc restée avec lui pour cette raison et aussi pour voir sa mère, tant ça mintriguait. Je lavais vu plusieurs fois sucer un cheval et se masturber avec sa verge entre ses cuisses, une fois elle avait dû se faire pénétrer, mais doù jétais, je nen étais pas certaine, elle avait cette longue verge dans les mains entre ses cuisses et ces propos étaient sans équivoque :
allez, entre
baise-moi
Personnellement, javais des cheveux longs, javais un visage quelconque, je ne me maquillais pas, ma poitrine était arrogante, si on se retournait sur moi, je pense que cétait pour elle et rien dautre. Sachant quArmand mattendrait à larrêt du car, pour un minimum de féminité, je métais vêtue dun chemisier à ma taille, mais pas réellement approprié à ma poitrine, le tissu tirant sur la boutonnière, le distendait disgracieusement en soufflet qui pouvait laisser entrevoir, soit mon soutien-gorge, soit la chair de mon buste. Quimporte, je me réjouissais à lavance de voir ses mirettes sécarquiller sur mes seins. Je portais aussi une jupe plissée, et un gilet, qui cachait lindécence de mon torse pour le trajet.
Avant de massoir sur la banquette, étant au fond du véhicule, et de par la chaleur qui y régnait jenlevais ce gilet. Je me calai contre la vitre et commençais à lire u roman en attendant le départ.
Environ deux minutes avant que les portes ne se referment, deux jeunes, dont un que je connaissais de vue, étaient montés également. Ils sétaient assis sur la banquette de devant.
Le bus sébranla, il quitta la gare routière. Aussitôt celui que javais reconnu, se leva et vint sassoir à mes côtés.
Salut ! On se connait non ? Thabites pas à côté de Boves ?
Si, quand je tai vu, jme suis dit que je devais te connaître.
Moi aussi, mais ce nest pas ton visage qui me disait quelque chose, mais plutôt tes nibards, à part les vaches, on nen voit pas beaucoup des comme ça dans le coin. Pas vrai Denis ?
Il avait un rire goguenard, genre cul terreux qui avait réussi à avoir son brevet des collèges et dont il était fier. Jhaussai les épaules et me tournai clairement vers la vitre afin de lignorer.
Ne fais pas la gueule, si jte dis ça, tu devrais le prendre comme un compliment.
Hé, la sainte Nitouche, renchérit Denis, tu ne me connais pas, mais moi je connais un certain Armand, ça te dit quelque chose ? Tu lui trouves quoi à ce morveux ? Tu fais dans la garde ds, tas pas plutôt envie de te reconvertir dans
Dans je ne sais pas quoi, mais dans un truc avec des mecs, de vrais ?
Cela mavait interpellé bien sûr, mais je fis semblant de ne pas lentendre.
Hé la pouf ! Tu me réponds ? Cest vrai que tas la chatte rasée ? Armand ma dit que cétait ton plaisir de te la faire bouffer.
Cétait vrai, Armand sen vantait-il ? Je moffusquais de ce colportage impudent à mon égard, mais étrangement, jen éprouvais un certain orgueil. Ça voulait dire à ceux qui lentendaient, que jétais libre de mon corps, libre de choisir qui en rait et que si je faisais des envieux, cest que ces « envieux », ne mavaient pas comme petite amie avec qui ils assouviraient leurs phantasmes. Mon orgueil, sans doute mal placé, me fit rétorquer :
Pourquoi tu dis ça ? Parce que quand tu bouffes la chatte de ta copine poilue, elle aime que tu lui éternues dessus quand ça te chatouille les narines ? Répondis-je dans une bravoure inconsidérée tout en le défiant du regard.
Trop emportée à lui répondre du tac au tac, je ne me rendis pas compte que Thierry assis à mes côtés, avait plongé sa main droite sous ma jupe. Le temps de réagir, ses doigts crochetèrent ma culotte dans le souci lôter.
Mais
! Réagis-je en portant mes mains sur mon entre-jambes pour enrayer sa fougue.
Denis profita de mon moment dinattention pour se saisir du col de mon chemisier et de ses mains larracha violemment. Dans sa frénésie, une fois mon buste offert, de son index recroquevillé en forme desse, il crocheta mon soutien-gorge vers le bas, décalottant ainsi mes seins de leurs bonnets.
Jallais hurler, mais ma plainte sétouffa dans la main de Thierry plaquée sur ma bouche. Dailleurs maurait-on entendu ? Il ny avait dans le car que quatre ou cinq passagers agglutinés derrière le chauffeur.
Denis qui était agenouillé sur le fauteuil du devant, sexcita à me voir bloqué ainsi entre son la vitre et son copain qui essayait de me retirer ma culotte, lair hébété de ne pouvoir réagir, son regard globuleux se gorgeait de mes seins exhibés indûment.
Jétais hypnotisée par son comportement démoniaque. De par sa posture, je compris quil se masturbait, tandis que son autre main quil pointa vers moi, me força à prendre son index tendu dans ma bouche. Il en fit des va et vient obscènes à la manière dun sexe qui vous baise en me fixant de son regard exorbité ; il se gavait de ses paroles.
Alors pute ! Quest-ce que tu préfères la queue dArmand ou celle de ses chevaux ? Taurais aimé être à la place sa mère ? Dis-moi tout ma pute !
Oui ! Son comportement, ses paroles, son doigt dans ma bouche, annihilèrent ma perception du moment. Ainsi je ne me rendis pas compte que Thierry avait fait glisser ma culotte à mi-cuisses et que ses doigts sinsinuaient entre mes lèvres, alors que son visage et sa bouche penchés sur mon buste, se repaissait de mon sein droit.
Ce nest que lorsque Denis se retint dexprimer sa jouissance et quil se recroquevilla derrière le fauteuil pour éjaculer dans sa main, que je sortis de cette torpeur pour mapercevoir que Thierry abusait de moi. Javais un voile brumeux devant moi à ce moment-là. Y avait-il un paysage qui défilait à lextérieur du car ? Y avait-il des gens, des sièges, un chauffeur dans lhabitacle ? Me voyait-on ? Lespace de quelques secondes tout socculta. Ne sachant où jétais ? avec qui ? pourquoi ? comment ?
Je sortais peu à peu de ma léthargie, sentant des doigts fourrager mon intimité, incapable de resserrer mes cuisses pour empêcher cette intrusion, ni de repousser cette bouche qui pompait sans vergogne mon sein. Mon seul réflexe fut de scruter au-dessus du fauteuil où Denis avait disparu, si quelquun pouvait me voir. Cette réaction était-elle une acceptation que ce Thierry puisse profiter de mon corps ?
Jentendais le gloutonnement de ses lèvres sur mon sein ainsi que le clapotement furtif de ses doigts enfouis dans mon sexe qui shumidifiait. Sans men rendre vraiment compte, jinversais mon raisonnement. Et si ce nétait pas lui qui profitait de moi, mais moi qui voulait être abusée par Thierry ou un autre, dans le seul but de mon bien être ? Oui, cétait ce que je voulais.
De ma main gauche encore libre, jarrivais à glisser ma culotte qui chu sur mes pieds, puis jécartais mes cuisses pour que ses doigts aillent plus en moi, tandis que mon autre main tout en lui câlinant la tête, le pressa davantage contre mon sein.
Jai envie de toi. Lui chuchotais-je.
Moi aussi salope.
Quelques secondes plus tard, avachi sur la banquette, il dégrafa son pantalon. Jextirpais sa verge de son slip et la prit sans plus attendre dans ma gorge. Empressée et sans doute encore inexpérimenté, je me mis à le pomper avidement sans penser à jouer avec son gland, ni à laspirer méticuleusement pour mabreuver des prémices de son sperme. Au contraire, je prenais son sexe sur toute sa longueur, à men donner des hauts le cur, même si sa hampe navait vraiment rien dextraordinaire sinon quil bandait sans défaillir.
Putain tas de sacrées mamelles, disait-il tout en me les pétrissant.
Il marrivait de ressentir son ventre se contracter, alors je me relevai et lui fit signe de sassoir à ma place contre la vitre. Je retroussais ma jupe, et de ma main libre, je me saisis de son sexe que je guidai entre mes lèvres. Lentement, je mempalais sur sa hampe, jusquà ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. Ses mains reprirent leur pétrissage de mes seins, tandis quagrippée au dossier den face, je me levais pour membrocher de nouveau sur son membre. Je donnais la cadence de notre baise, ce nétait pas lui qui me possédait, mais bien moi qui le baisait, qui baisait ce sexe.
Doucement ! Murmura-t-il.
Pourquoi ?
Cétait moi qui dirigeais, qui donnais la cadence, je le voulais, je désirais son sperme en moi, alors je redoublais mes allées et venues.
Doucement jte dis !
Ses doigts senfonçaient dans la chair de mes seins quil triturait avec emportement. Il se crispa et ses mains appuyées sur mes cuisses mimmobilisèrent. Il retint son râle dans sa gorge. Je perçus les giclées de sperme dans ma vulve.
Salope ! Putain ! ronchonnait-il.
Mes ongles senfoncèrent dans le tissu du dossier. Tel un séisme fulgurant, lorgasme secoua mon corps dans un tremblement incontrôlable. Je vis la tête éberluée de Denis, le regard stupéfait, cest alors que je me rendis compte que je laissais libre court à mes gémissements dissolus.
Je reprenais mes esprits peu à peu, pourtant je restais assise sur Thierry, dont je savourais le sexe moins téméraire fiché dans mon ventre.
On arrive ! Lança Denis.
Je revenais trop vite à la réalité, le car commençait à ralentir. Je me relevais hâtivement dans le bruit le plus glauque qui soit, celui du gargouillis du sexe de Thierry séchappant du mien et dont sa semence ruissela le long de mon entrecuisse. Je restais comme une gourde le temps dun instant, cuisses ouvertes à moitié pliée, avec des filets de spermes qui perlaient de mes lèvres.
Le car stoppa. Jeus juste le temps de ramasser ma culotte que je fourrais dans mon sac et denfiler mon gilet par-dessus mon chemisier ouvert sur ma poitrine nue, et je sortie du véhicule, espérant ne faire aucune rencontre. Armand mattendait sur sa mobylette, la moue dubitative de me voir ainsi. Je baissai le regard.
A vendredi prochain ! Me dit Thierry, puis il ajouta à lintention dArmand, elle assure ta gonzesse.
Naturellement Armand nen nétait pas resté là, la fin de journée nétait pas finie pour moi.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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